
Hélène Paredes, cheffe d’établissement, Chantal di Donato, directrice administrative, Valérie de Luca Besacier, responsable administrative bac professionnel, et Nathalie Clavel, enseignante en classe de bac professionnel perruquier posticheur, nous ont aimablement reçu en ce jour du 13 juin 2022, afin de répondre à nos questions.
Le lycée des métiers des arts de la coiffure offre à ses élèves des opportunités pour ceux qui souhaitent évoluer dans le monde de la coiffure, de la perruquerie et de l’esthétique.
Bonjour, nous vous remercions de nous recevoir aujourd’hui pour cette interview pour Sheldon Skills. Notre première question est la suivante : Avant Sheldon, quel était votre outil ? Comment faisiez-vous avant le suivi administratif des stages ?
Hélène Paredes : Avant Sheldon, nous traitions exclusivement nos conventions de stage et nos livrets sous format papier. Nous devions fournir trois exemplaires de la convention par élève ainsi qu’un livret.
Valérie de Luca Besacier : Pour être plus précise, un exemplaire était destiné à l’employeur, un autre que gardait l’élève et enfin un dernier que l’on conservait dans notre établissement. Ensuite, nous devions les scanner pour pouvoir les archiver.
Comment vous repartissiez vous le travail ?
Hélène Paredes : Dans un premier temps, une personne créait les conventions. Ensuite un professeur principal les distribuait aux élèves en amont de leur période de stage. Une fois que la convention était remplie et signée, par les élèves et les employeurs, le professeur avait la charge de vérifier la convention et d’éventuellement la corriger, pour être sûr qu’elle soit bien complète. Enfin, après validation, nous redonnions les conventions aux élèves, tout en gardant un exemplaire pour nous même.
Cette version de la gestion des stages était-elle un choix de votre part ou n’aviez-vous tout simplement pas d’autre solution à disposition ?
Hélène Paredes : Oui nous utilisions ce système par obligation. Il n’existait pas de système comme Sheldon.
Êtes-vous satisfaites de cette nouvelle solution Sheldon ?
Valérie de Luca Besacier : Oui très satisfaite de la plateforme Sheldon. Elle nous a vraiment facilité la vie.
Hélène Paredes : Nous en sommes même convaincues puisque nous avons signé pour l’année prochaine.
Pourquoi avez-vous accepté de tester notre plateforme ?
Hélène Paredes : Nous avons accepté de tester Sheldon car nous étions convaincues du bien-fondé de la plateforme. Sheldon nous a paru facile d’utilisation. Notre établissement souhaite aussi préserver la nature, donc Sheldon nous permet de consommer moins de papier et d’utiliser moins le photocopieur.
Nathalie Clavel : Je rajouterai également que nous voulions donner sa chance à une nouvelle startup.
Hélène Paredes : Exactement, nous avions face à nous une nouvelle startup avec une idée intéressante, nous avions la volonté de l’aider.
Avez-vous eu un retour des étudiants concernant la plateforme ?
Nathalie Clavel : Oui. La promo sur qui nous étions en test de la plateforme était super contente. Nous sommes tombées sur une classe qui était très motivée. Nous avons eu plusieurs rencontres avec Edouard et les étudiantes pour qu’elles puissent être formées à la plateforme, et à chaque fois, elles étaient motivées et sont allées très facilement sur le site pour compléter leurs conventions.
Les étudiants se font facilement adaptés à la plateforme ?
Nathalie Clavel : Oui, grâce aux explications d’Edouard, qui est rentré dans les détails, elles sont maintenant bien formées.
Et au niveau des professeurs ?
Nathalie Clavel : Pour l’instant il n’y a que Valérie et moi qui l’avons testée.
Avez-vous facilement compris avec les explications ?
Hélène Paredes : Oui. On a fait une année de test avec une classe, un professeur et une personne administrative, et puis l’année prochaine, Edouard va venir former tous les enseignants pour qu’on puisse mettre en place ce système sur l’ensemble des classes.
Avez- vous eut des retours d’employeur ?
Valérie de Luca Besacier : Au départ, nous n’avions pas eu trop de retours, puis un jour, il y a un employeur qui nous a demandé, pour un autre élève issu d’un autre cursus de notre établissement, qu’il avait en stage, s’il pouvait aussi compléter sa convention sur Sheldon. Nous étions étonnées, il voulait utiliser la plateforme pour les deux stagiaires. Comme nous étions en test de la plateforme seulement sur une classe de notre établissement, tous les étudiants n’utilisaient pas Sheldon. L’employeur avait trouvé la plateforme super pratique. Le fait qu’il y ait un bon retour des employeurs est rassurant.
Est-ce que vos attentes ont été satisfaites par rapport à la plateforme ?
Tout le monde : oui
Reviendriez-vous à l’ancienne solution ?
Tout le monde : Non
Est-ce que vous auriez d’éventuels recommandations à nous faire par rapport à la plateforme, pour des améliorations ? S’il y a des faiblesses que vous avez potentiellement relevé ?
Hélène Paredes : Nous avons travaillé très souvent avec Monsieur De Préval, donc dès que nous avions une remarque, elle était prise en en considération. Elles étaient même souvent anticipées. Donc au cours de l’année, il y a déjà eu des modifications, des améliorations qui ont été faites.
Valérie De Luca Besacier : C’est de ce qui est bien d’ailleurs, de pouvoir changer au fur et à mesure.
Nathalie Clavel : Edouard est venu plusieurs fois pour revoir les critères.
Hélène Paredes : Puis nous avions également des échanges par message. On avait des messages régulièrement pour nous informer quand il y avait eu des modifications du système.
Pour finir, pourriez-vous en quelque mots énoncer des qualités de la plateforme ?
Hélène Paredes : Facile, sérieux, écologique
Nathalie Clavel : Effectivement, normalement nous tirions les conventions en trois exemplaires, ce qui représentait 3 x 6 pages / élèves. Sheldon nous fait faire une sacrée économie de papier. Mais cela représente aussi un gain de temps, car beaucoup d’élèves perdaient leurs conventions. Là, au moins, ils ne peuvent pas la perdre.
Valérie de Luca besacier : Un autre avantage est aussi le suivi avec les items cochés via le questionnaire, qu’il n’y avait pas forcément sur les conventions.
Auriez-vous d’éventuels d’autres remarques à nous transmettre ?
Nathalie Clavel : Sheldon c’est l’avenir je pense. Et même par rapport aux employeurs ça montre que nous sommes dans l’innovation.
Hélène Paredes : Le fait que ça se fasse directement sur le site, c’est beaucoup plus facile et comme c’est plus facile, c’est plus sécurisé. Et puis sachant que de nos jours, les gens ont des portables très récents, ils peuvent donc aller sur la plateforme n’importe où, il n’y plus besoin d’avoir un ordinateur devant soi.
Merci d’avoir répondu à ces quelques questions, au plaisir d’échanger à nouveau avec vous.
Propos recueillis par Lisa Boutillier pour Sheldon Skills.
